Réflexions

Lundi 23 août 1 23 /08 /Août 10:52

 

 

 

Cher amis,

 

GetAttachmentIl m’est toujours agréable de me mettre au vert. Perché à trente mètres de haut, j’observe par ma fenêtre, loin très loin, au delà de la plaine de la Limagne la courbe si caractéristique du Puy de Dôme au pied duquel l’on distingue le cône absolument parfait du Puy de Parioux. Les vielles pierres de ma tour de granit me suffisent à passer une partie de mon été à lire et réfléchir. Dans ces moments où l’on n'est plus tributaire de sa montre, la curiosité se porte sur des scènes ordinaires de la vie champêtre. Je me suis fait cette réflexion lorsque hier soir, à l’heure où la maison dormait des rumeurs inabituelles me tirèrent de ma lecture du moment. Mon esprit était dans les ruines de Stalingrad tout en tenant entre mes mains les mille quatre cent page des Bienveillantes, un pure chez d’œuvre littéraire possédant cette force de pénétration des âmes propres aux grands romans. Le bruit assourdissant, un vacarme pour ainsi dire, venait du poulailler dont les hôtes semblaient soudain pris de panique. Je descends lampe torche en main et me précipite à travers la nuit tiède vers les bâtiments de ferme. Je m’approche du poulailler, braque ma lampe torche à quelques mètres de celui-ci pour éblouir un de ces vieux renards rusés que l’on croise rarement. Dans le poulailler c’est l’hystérie ou milieu d’un nuage de plumes et de désolation…

 

Je viens aussi de découvrir une fille qui s'appelerait Sandra, dont je vous voyez sur la gauche une jolie photo. Elle aurait 27 aujourd’hui, cette photo ayant été prise en 2006 à l’époque où elle en avait 23 d’après ce qu’elle raconte. Je crois comprendre qu’elle habiterait Rouen et qu’elle serait infirmière de profession. Cela sens bon le racollage mais Dieu qu’elle est belle. Mais je sens que je vais être accablé de reproches. Alors voilà, ce n’est pas parce que Sandra ressemble à Maîtresse Trinity qu’il s’agit forcément de la même personne quand bien même la pose et le lieu sont identiques à la photo que l’on trouve sur le blog de la divine maîtresse. J’en veux pour preuve que Sandra est absolument nue tandis que Maîtresse Trinity est sensée donner son champagne à une soumise. Certes, la photo de Maitresse Trinity est censurée par ses soins mais pourquoi ne devrions-nous pas la croire sur parole ?

 

A bientôt,

 

Edouardnj

 

 

Par edouardnj - Publié dans : Réflexions
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Mercredi 14 juillet 3 14 /07 /Juil 11:40

 

images-3.jpegMaitresse Trinity vivait sa vie lorsqu’un homme dénommé Edouardnj, car il venait du New Jersey, s’approcha et s’agenouilla devant elle : « Divine Maitresse, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle dans votre cercle ? »

 

Maitresse Trinity répondit : « Pourquoi m’appelles-tu Divine Maitresse, tu dis cela sans même me connaître ».

 

Tu connais les commandements :

 

On me vouvoie, on garde une attitude humble et polie.

On garde les yeux baissés en ma présence.

On ne discute aucun de mes choix ou de mes décisions.

On ne croise pas ses jambes, on ne se touche pas.

On accepte les sanctions sans réchigner.

On consacre son tems à mon bien être et mon confort.

On se montre prêt à tout moment.

On ne me ment pas, on me dit tout ce que je veux savoir.

On ne me refuse rien.

On me remercie pour mon existence.

On est fier de me connaître.

 

« Maitresse, lui répondit Edouardnj, tout cela, dans la mesure du possible, je l’ai observé dès notre premier contact. » Alors Maitresse Trinity fixa sur lui son regard et ne l’aima pas. Et elle lui dit « Tu n’as fait que jouer et ce faisant tu t’es pris d’affection pour moi. Prouve-moi donc ta servitude : va, ce que tu as vends-le et donne-le moi, et donnes-moi une partie de ton salaire, donne-moi tout ce que je veux savoir et accepte l’idée que je puisse te dessécher sans rien attendre en retour ». Mais à ces mots, Edouardnj, qui dans le fond déteste la faiblesse, et déstesterait encore plus la sienne  s’assombrit et s’en alla contristé, car il aimait bien Maitresse Trinity. Il aimait la voir penser, mais récusait son système tout en étant persuadé qu’elle avait au fond de son cœur des jardins tout à fait extraordinaires.

 

Alors Maitresse Trinity, regardant autour d’elle dit à ses serfs et esclaves « Comme il sera difficile à ceux qui veulent trop savoir sans vouloir être asservis d’entrer dans mon cercle et comme sont nombreux ceux que je puis rejeter exsangues après les avoir dépouillé ».  Les esclaves et les serfs étaient stupéfaits de ces paroles. Maitresse Trinity reprit et leur dit : « Mes enfants comme il est difficile d’entrer dans mon cercle et comme il est facile d’en être éjecté ! Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille  qu’à Edouardnj d'espérer pouvoir me conquérir ». Les esclaves et les serfs restèrent interdits à l’excès et furent saisis de craintes. Il se disaient les uns les autres « Donnons-nous nous vraiment à 100% pour notre Maitresse ? Qu’avons-nous à donner que nous n’ayons pas encore donné ? Comment nous déstructurer pour elle ? Comment faire en sorte de perdre notre vie pour notre Maitresse ? ». Maitresse Trinity répondit : « pour vous impossible, mais pas pour moi, car tout est possible à Maitresse Trinity. »

 

Bonne méditation et à bientôt.

 

Edouardnj

 

 

Par edouardnj - Publié dans : Réflexions
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Mercredi 16 juin 3 16 /06 /Juin 21:15

acidenitrix.jpg

Paltoquet, merdeux insignifiant, crétin, imbécile, cuistre, persifleur éconduit, faux derche sournois, connard et j’en passe…

 

Que ce soit par le biais de commentaires ou de messages privés je suis a-ca-blé d’injures et de reproches alors même que je crois avoir dit que ce blog est dédié à Maitresse Trinity. Si l’on devait transcrire ce portait moral en portrait physique, je crois bien que l’homme élancé et distingué que je suis, se racornirait soudain, son dos se courberait tandis que ses bras s’allongeraient jusqu’à toucher terre; ses mains longues et fines se prolongeraient par des ongles crochus et sales, sa peau se recouvrirait progressivement d’écailles, quelques cheveux gras se plaqueraient sur des oreilles démesurément décollées, et au milieu d'un visage jaune et cireux sa bouche s’ouvrirait sur des dents gâtées tout en lassant s ‘échapper une haleine putride…

 

Mon beau regard franc et droit ne laisserait-il donc plus place qu’à ce regard torve et inquiet façon Pierre Laval?   Il semblerait que j’appartienne donc à l’odieuse catégorie des traitres. Mais pire que cela, un rebus, un exclu du divin cercle, un de ces vaniteux dépourvu de profondeur incapable de comprendre la profondeur de Maitresse Trinity. Un misérable incapable de méditer sur ce qui fait sens, incapable d’apporter le moindre début de réponse à la question structurante : Maitresse Trinity a-t-elle oui ou non taillé une pipe à Matteo ?

 

Ah ! Comme j’aimerais pouvoir m’élever au dessus de mes pitoyables réflexions sur la liberté de l’instinct et la liberté de l’âme. Comme j’aimerais atteindre, comme Maitresse Trinity, la quintessence de l’humilité et me départir de cet orgueil qui me colle à la peau. Il faudrait pour cela que je me décide à prendre enfin exemple sur la divine Maitresse. Il faudrait ainsi que j’accepte de ne vivre que pour moi même. Il faudrait aussi que j’accepte de ne vivre que par moi même. Je cesserais de revendiquer toute forme d’autonomie pour lui préférer l’indépendance, détaché de ce qui m’entoure, je me sentirai libre. En un mot je me poserais en m’opposant et ne voudrais dépendre de personne.  Je dirais "noir" quand les autres diraient "blanc" et inversement. J’aurais, enfin, toujours raison, je n’accepterais avec affabilité que les seuls compliments. Si je parviens à réunir ces belles qualités, alors oui, peut-être, mon orgueil s’évaporera et aurai-je enfin compris la belle vertu d’humilité.

 

 Mais j’en suis bien loin, moi le péon, le laid, le plouc. Je parcours parfois le blog des admirateurs de Maitresse Trinity, me nourris de leur abondante réflexion et tout en constatant ma misère me dis que l’on voit poindre une nouvelle aristocratie. Ces soumis, ces intimes sont, en effet, autant de barons, de marquis et pour les plus méritants pourquoi pas de comtes. Mais, me direz-vous, quel titre faudrait-il donc donner à Maitresse Trinity elle-même ? Je me suis posé et j’ai bien réfléchi. Reine ? Non pas. Le titre de roi appartient à Sade lui même (tout marquis qu’il fut dans le civil) et Maitresse Trinity admettra que ce titre ne saurait être partagé. Princesse ? Non plus, le coté Walt Disney étant rédhibitoire. Duchesse ? Certainement pas, ce titre ne traduit pas toute la noblesse de Maitresse Trinity. Alors quel titre ? C’est alors que fouillant dans ma mémoire, je mes suis souvenu que, sous l’ancien régime, certaines femmes de très haute importance et évoluant dans le cercle quasi intime du Roi étaient tout simplement appelées "Madame".

 

J’ai croisé dans ma jeunesse l'une de ces "Madames" et ce qui distinguait le "Madame" attribué à cette femme du gotha du "madame" que l’on adresse à sa boulangère (quand on oublie pas de la saluer) c’était la façon de prononcer le mot. Le "Madame" que l'on adresse à un altesse sérénissime, se prononce toujours avec cette légère suavité et ce je ne sais quoi d’insistance sur l'accent tonique de la deuxième syllabe tout en laissant trainer légèrement le "a" après le "d" :"Madaame". 

 

Convenons que cette distinction, bien plus qu'un titre, sied parfaitement à ces femmes qui savent allier noblesse et humilité.

 

C’est pourquoi, chers amis, j’appelle tous les soumis et soumises de France et de Navarre à appeler désormais Maitresse Trinity par le seul titre de noblesse qui lui sied indiscutablement, savoir :

 

"Monsiieur"

 

A bientôt

 

Edouardnj

 


 

 

Par edouardnj - Publié dans : Réflexions
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Vendredi 23 avril 5 23 /04 /Avr 01:25

 

imagesMes propos vous sembleront hors sujet mais je tenais à vous parler du film à la télé. Celui qui est passé un dimanche soir il y a quelques semaines. Vous savez, ce film avec cette actrice qui joue le rôle d’un écrivain psychopathe et qui assassine ses victimes tout en copulant copieusement avec elles. J’ai pris le film en cours de route et j’ai bien regretté d’avoir loupé le début. Oh bien sûr je me voudrais plus intellectuel et pouvoir exhumer des auteurs de littérature du siècle dernier pour vous apporter la preuve que l’on peut être à la fois cultivé et pervers et que tout cela fait bon ménage dans ma petite personne. Pourtant, c’est bien ce film grand public, vu par des millions de spectateurs à travers le monde qui m’a plu et dont je voudrai vous parler. Pareils à des millions d’hommes et de femmes je n’ai pas pu résister au charme pervers de Sharon Stone. Je vous dirai même que j’ai a-do-ré.

 

En un mot, la belle Catherine Tramell (alias Sharone Stone), écrivain à succès, est en délicatesse avec la justice. Une justice policée mais non moins redoutable puisqu’il s’agit de Scotland Yard. Les anglais étant plus fins que leurs cousins d’Amérique, ils décident de faire examiner l’écrivain par un psychologue. Ce dernier est un professionnel. Du solide, du sérieux, du lourd. Il apparaît un brin guindé,  barricadé derrière une solide déontologie et connaissant suffisamment les rouages de la psychologie humaine pour ne pas être manipulé. Tu parles. Je me contenterai juste de décrire la scène suivante pour donner un aperçu de ce film plein de perversité et illustrant à merveille une dominatrice.

 

Au cours du film, notre brave psychologue décide de suivre à distance Catherine Tramell, pour s’apercevoir rapidement que celle-ci se met en danger. En effet, elle s’aventure seule dans les rues les plus sordides de Londres ou prostituées et dealers vivent en harmonie.  Il observe à distance. Le temps semble avoir suspendu son vol, ne sachant s’il doit basculer dans la violence ou le sexe. Notre homme est inquiet et mal à son aise. Est-il un voyeur ou joue-t-il les gardes du corps à distance ? Que lui dicte sa conscience? Il en à ce stade lorsque tout à coup il aperçoit Catherine Tramell s’approcher d’un voyou. Elle entame la conversation et le temps d’un instant la voici happée par les bras musclés du bandit vers un sous-sol aussi sale qu’inquiétant. C’est d’abord le soulagement qui anime notre psy car une femme est à sauver. Sa conscience est soulagée car il peut tronquer sa misérable condition de voyeur pour celle du chevalier blanc. Il va enfin prouver qu’il est un homme, un vrai et surtout qu’il est utile. Il va pouvoir rétablir l’équilibre de sexes dans une partie qui était male engagée.

 

Vite il se précipite vers la porte qui s’est à peine refermée sur Catherine Tramell et son ravisseur. Quoi ? La porte est fermée? Qu’à cela ne tienne…il passera par les toits, sinon par les égouts, voir par les airs ! Une vie est en jeux, son honneur d’homme également! Il grimpe donc sur les toits, non sans avoir défoncé, du premier coup d’épaule, une porte récalcitrante, il aperçoit une verrière et de la lumière ; le salut de la prisonnière est à sa portée ; il va plonger comme tout héro à travers la vitre qui volera en éclats ; il ne se souciera pas de la moindre blessure ; il se battra, délivrera la belle et sans doute couchera-t-il avec elle dans un beau happy end ? Du moins l’espère-t-il. Car avant de plonger, ses yeux éblouis commençant à s’habituer à la lumière, distinguent en contre bas deux corps qui s’enlacent avec frénésie. Le dangereux bandit fornique entre les cuisses largement ouvertes et consentantes de l’écrivant ; elle s’agrippe à son étalon consommant le sexe avec avidité envoyant à la face du monde ses orgasmes assumés. Elle est dans l’acte, elle s’est mise en danger, et elle reçoit les coups de boutoir comme un acte de révérence, de soumission…Couchée comme elle est, elle ne peut que croiser le regard dépité du psy, et lui adresser ce sourire carnacié qui le flétrît sur place.

 

Notre homme est définitivement battu, Tramell lui ayant démontré l’absurdité de ses prétentions. Le constat s’impose : notre psychologue est inutile. Du moins, il n’a plus d’autre utilité que celle que Catherine Tramell voudra bien désormais lui accorder. Bien sûr il couchera avec elle mais uniquement parce qu’elle l’a décidé. Le psychologue qui représente donc l’autorité et la force vient en fait de capituler en rase campagne. Et voici que s’instaure une relation de maître à esclave. Etrange relation. Le Maître accorde une attention à son esclave quand il le décide et selon ses besoins.  L’esclave, lui,  quémande les bonnes grâces de son maître, allant jusqu'à devancer ses désirs, lui offrir plus que ce qu’il demande et misérable, il exultera lorsque son maître, atténuant sa brutalité, lui accordera une part infime de ce qu’il espérait secrètement dans son cœur. J’extrapole à partir d’une fiction me direz-vous. C’est vrai.

 

Revenons-en à Catherine Tramell. Pour résumer, il s’agit d’une superbe quadra, écrivain, doté d’une brillante plume, cultivée, riche, disposant des hommes, goûtant sans modération aux plaisirs féminins, violente, vivant l’acte sexuel comme un combat à livrer. Elle dégage une assurance, une présence déconcertante aussi bien nue qu’habillée.  J’avoue que cette femme me tente. Elle me houspille. Mais voilà, c’est un personnage fictif,  sorti d’un scénario aux recettes faciles imaginé par un homme et matérialisé par une actrice de cinéma, par une image.

 

Je me suis fait cette réflexion quelques jours après le magnifique concert à l’Olympia d’une jeune chanteuse américaine.  Dieu qu’il est bon et doux d’être subjugué…Il fallait entendre la voix grave, parfois rauque de cette femme, cette vamp, raide et sensuelle se déplaçant sur la scène avec flegme tout en s’aidant d’une cane à pommeau d’argent. Si jeune et si sûre d’elle, j’étais attendri observant sa concentration impénétrable en savourant sa voix. Un quintette composé d’un saxophoniste, d’un contrebassiste, d’un batteur, d’un guitariste et d’un violoncelliste qui déclinait des accord de bossa nova utilisant son instrument comme une guitare voluptueuse, la servait avec grâce. Tous cela pour la gloire de la musique et de celle d’une femme de 25 ans jouant de tous les instruments  mais capable, aussi, de chanter a capella tout en rythmant sa mélodie de simples coups de talon sur le sol.

 

Je suis sorti de l’Olympia léger avec cette étrange sensation d’avoir grandi. Pourquoi, me direz-vous, ce saut du coq à l’âne ? Pourquoi d’un bon passer de Catherine Tramell, à la belle chanteuse américaine ? C'est que la première, fictive imaginé par un homme, vient tutoyer ma perversité tandis que la deuxième, bien réelle, me fait pénétrer dans son bel univers de femme.

 

C’est ainsi  que je devais plus ou moins conclure cet Article. Mais la télévision était restée allumée tard après les nouvelles de la nuit. Point de Cathrine Tramell, point de chanteuse américaine, mais l’histoire des camps de transit français de Drancy et de Pithiviers. J’écoutais cette femme évoquant ces enfants séparés de force de leurs mères par la police française puis envoyés seuls vers la mort. La femme parlait d’un petit garçon de quatre ans, grave, abandonné, livré à lui même, sans recours ni réconfort et s’adressant dans le vide à sa mère absente. Dans le néant il disait seulement « maman je vais avoir peur ».

 

Dès lors, je fais l’ultime saut du coq à l’âne, je fais l’ultime raccourci. Il me semble que mon introspection, que mes réflexions ne pèsent pas bien lourd. Il me semble aussi que nous devons, à nouveau remercier la belle chanteuse pour ce qu’elle fait de beau et faire le constat que nos perversités autocentrées que nous soignons si bien sont d'un monstrueux égoisme et d'une injustices inouies. C'est comme si, soixante plus tard, connaissant tout de sa souffrance, nous crachions à la face de cet enfant.

Par edouardnj - Publié dans : Réflexions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 29 mars 1 29 /03 /Mars 22:27

 

Dans mon premier article, le lecteur se souviendra que j’avais mis en doute l’identité sexuelle de Maitresse Trinity en affirmant que, d’après moi, sa voix avait sans doute mué vers l’âge de la puberté. J’avais également précisé que si je devais m’apercevoir de mon erreur je ferai immédiatement amende honorable. Je crois que l’honnêteté m’impose de le faire chaque fois que j’aurai formulé une opinion manifestement erronée.

 

C’est ainsi que dans mon dernier article ,j’ai insinué que Maitresse Trinity semblait s’essouffler quelque peu. Mais voici qu’elle vient d’apporter un démenti formel à cette affirmation par la mise en ligne d'un nouveau site de toute splendeur. Nous ne pouvons qu’en souligner la présentation soignée et ludique. De surcroit, ce site est enrichi de quelques photos et de textes de littérature pornographique très bien choisis. C’est un beau travail de conception. En d’autres mots, un travail fin, pervers et intelligent. Je retire donc mon affirmation et fais sur ce blog ma première amende honorable.

Par edouardnj - Publié dans : Réflexions
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Liens

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus