Mercredi 14 juillet 3 14 /07 /Juil 11:40

 

images-3.jpegMaitresse Trinity vivait sa vie lorsqu’un homme dénommé Edouardnj, car il venait du New Jersey, s’approcha et s’agenouilla devant elle : « Divine Maitresse, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle dans votre cercle ? »

 

Maitresse Trinity répondit : « Pourquoi m’appelles-tu Divine Maitresse, tu dis cela sans même me connaître ».

 

Tu connais les commandements :

 

On me vouvoie, on garde une attitude humble et polie.

On garde les yeux baissés en ma présence.

On ne discute aucun de mes choix ou de mes décisions.

On ne croise pas ses jambes, on ne se touche pas.

On accepte les sanctions sans réchigner.

On consacre son tems à mon bien être et mon confort.

On se montre prêt à tout moment.

On ne me ment pas, on me dit tout ce que je veux savoir.

On ne me refuse rien.

On me remercie pour mon existence.

On est fier de me connaître.

 

« Maitresse, lui répondit Edouardnj, tout cela, dans la mesure du possible, je l’ai observé dès notre premier contact. » Alors Maitresse Trinity fixa sur lui son regard et ne l’aima pas. Et elle lui dit « Tu n’as fait que jouer et ce faisant tu t’es pris d’affection pour moi. Prouve-moi donc ta servitude : va, ce que tu as vends-le et donne-le moi, et donnes-moi une partie de ton salaire, donne-moi tout ce que je veux savoir et accepte l’idée que je puisse te dessécher sans rien attendre en retour ». Mais à ces mots, Edouardnj, qui dans le fond déteste la faiblesse, et déstesterait encore plus la sienne  s’assombrit et s’en alla contristé, car il aimait bien Maitresse Trinity. Il aimait la voir penser, mais récusait son système tout en étant persuadé qu’elle avait au fond de son cœur des jardins tout à fait extraordinaires.

 

Alors Maitresse Trinity, regardant autour d’elle dit à ses serfs et esclaves « Comme il sera difficile à ceux qui veulent trop savoir sans vouloir être asservis d’entrer dans mon cercle et comme sont nombreux ceux que je puis rejeter exsangues après les avoir dépouillé ».  Les esclaves et les serfs étaient stupéfaits de ces paroles. Maitresse Trinity reprit et leur dit : « Mes enfants comme il est difficile d’entrer dans mon cercle et comme il est facile d’en être éjecté ! Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille  qu’à Edouardnj d'espérer pouvoir me conquérir ». Les esclaves et les serfs restèrent interdits à l’excès et furent saisis de craintes. Il se disaient les uns les autres « Donnons-nous nous vraiment à 100% pour notre Maitresse ? Qu’avons-nous à donner que nous n’ayons pas encore donné ? Comment nous déstructurer pour elle ? Comment faire en sorte de perdre notre vie pour notre Maitresse ? ». Maitresse Trinity répondit : « pour vous impossible, mais pas pour moi, car tout est possible à Maitresse Trinity. »

 

Bonne méditation et à bientôt.

 

Edouardnj

 

 

Par edouardnj - Publié dans : Réflexions
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Dimanche 4 juillet 7 04 /07 /Juil 15:17

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Le Commentaire

 

Je n’ai plus le souvenir exact de ce qui fut à l’origine de cette scène. Je pense qu’il y a sans doute cet article publié par Maitresse Trinity le 10 juillet 2007 intitulé « Samedi soir sur la terre » où l’on voit une grosse truie bâillonnée et attachée à un arbre prête à se faire violer toute la nuit. Maitresse Trinity précisait dans ce court article qu’elle s’apprêtait à infliger la même sanction à l’une de ses soumises qui s’était apparemment très mal conduite à son égard  « Je crois que lorsqu'on se paye ma tête, il faut être en mesure d'assumer son arrogance », précise Maitresse Trinity à propos de la jeune femme sanctionnée.

 

Je dois dire que cet article suscita mon scepticisme immédiat. En effet, pourquoi illustrer cet article par une photo trouvée sur le net ? Rien n’aurait été plus facile à Maitresse Trinity que de prendre une photo de sa soumise, de la maquiller aux endroits qu’il faut grâce à l’assistance de son webmaster et grand complice dans le vice, avant de la publier sur la toile. Les stupéfiants progrès de la cybernétique son tels aujourd’hui qu’ils retirent toute portée aux arguments de la confidentialité souvent invoqués par Maitresse Trinity. Je dirai que ces arguments sont nuls et non avenus. Il m’a donc paru tout a fait évident que l’histoire relatée dans cet article relevait de la pure invention. Ceci étant précisé, je voulais bien croire à l’époque que cet article, comme biens d’autres, n’en était pas moins riche de sens substantiel. Je me disais qu’il ne fallait pas buter bêtement sur la véracité des faits qui, dans le fonds importait peu, mais que cet article et les autres permettaient de comprendre le fonds de l’âme de Maitresse Trinity. En un mot, j’allais jusqu’à penser que Maitresse Trinity nous donnait à lire des textes allégoriques.

 

Du point de vue de l’inspiration, je ressemble à Maitresse Trinity : on trouve une photo et l’imagination fait le reste…avec cette petite différence, qu’au cas particulier, c’est Maitresse Trinity qui prit soin de chercher la photo. Je la remercie chaleureusement de m’avoir épargné ce travail.

 

Maitresse Trinity trouvait également que dans ma pièce les femmes souffraient vraiment au détriment des hommes. J’ai tenu compte de la remarque en sacrifiant une victime innocente, étrangère au monde du SM, qui se retrouve happée dans un monde de violence malgré elle. Cette victime est un homme, joué par Serf Ronan. Le pauvre garçon vient d’épouser Alexandra (élève maitresse Alexandra) qui pour les besoins de la pièce, a pris des libertés  coupables vis à vis de sa maitresse pour se marier sans prendre le soin de l’inviter. Maitresse Trinity, reprend donc tout naturellement possession de sa soumise en réduisant en cendres le pauvre Ronan sous ses yeux avant de lui concocter une punition méritée.

 

Cette scène est aussi la dernière de l’Acte III.

 

Acteurs :

 

Maitresse Trinity ;

Elève Maitresse Sarah ;

Elève Maitresse Alexandra ;

Serf Ronan ;

Maitresse Jessica.

 

 

Scène (4) – Cadeau de mariage

 

VOIX OFF

 

 Deux heures plus tard…

 

La lumière s’allume sur le boudoir. Maîtresse Trinity est assise sur son vieux fauteuil club en cuir. Elle est emmitouflée dans son peignoir se remettant à peine de ses émotions en lisant et écoutant de la musique. On frappe à la porte.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Entrez !

 

Sarah fait son entrée dans la pièce.

 

SARAH

 

Bonsoir Maîtresse.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Ah te voici déjà. Alors ce mariage ?

 

SARAH

 

Je suis arrivée comme convenus à l’improviste. J’ai vu Alexandra qui était à table, devenir aussi blanche que sa robe.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Je vois…

 

SARAH

 

Je suis restée debout au milieu des invités assis. Les gens étaient interloqués de voir une jeune femme en jeans.

 

MAITRESSE TRINITY

 

L’angoisse tient à peu de chose Sarah. Une femme en jeans qui toise une jeune femme mariée…Voila ce que j'appelle dominer.

 

SARAH

 

J’ai fait ce que vous m’avez demandé.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Continue.

 

SARAH

 

Alexandra, a essayé de reprendre un peu de contenance, elle s’est levée et s’est dirigée vers la sortie.

 

MAITRESSE TRINITY

 

J’aurai bien été capable de la faire se lever séance tenante…tu as encore du travail ma belle.

 

 

 

SARAH

 

C’est vrai. Je l’ai quand même prise par le bras et l’ai conduit illico vers la voiture pour la conduire jusqu’ici. Elle n’a pas osé broncher. Je n’ai pas pu faire autrement que d’embarquer son jeune mari également.

 

MAITRESSE TRINITY

(Soupirant)

 

Que lui as-tu dit ?

 

SARAH

 

Je lui ai raconté un pipo. Que c’était une surprise. Ils sont là et attendent dans la pièce d'à coté.

 

MAITRESSE TRINITY

 

He bien qu’attends-tu pour les faire rentrer.

 

SARAH

 

Tout de suite Maîtresse.

 

Sarah sort du boudoir et revient accompagnée d’Alexandra toujours dans sa robe de mariée. Alexandra est très anxieuse. Ronan, son mari, est à ses cotés, habillé d’une jaquette grise. Il est nerveux et se frotte les mains ne comprenant pas la situation. Maîtresse Trinity se redresse de son fauteuil et s’approche des jeunes mariés les contemplant longuement des pieds à la tête. Elle soupèse le tissu de la robe de mariée d’Alexandra.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Pas mal, bonne qualité…

 

Puis Maîtresse Trinity du bout de ses doigts relève le menton d’Alexandra et la regarde avec intensité. Alexandra n’ose pas soutenir le regard de Maitresse Trinity. D’un geste brusque Maîtresse Trinity retire sa main. La tête d’Alexandra replonge à nouveau. Maîtresse Trinity prend tout son temps. La tension est à son comble.

 

 

 

MAITRESSE TRINITY

 

Bien…(Polie mais froide à Alexandra) Alors surprise au bout d’un an ?

 

Ronan esquisse le début d’un pas en avant vers Maîtresse Trinity comme s’il souhaitait amorcer le dialogue.

 

RONAN

 

Madame…

 

Ronan n’a même pas le temps de finir sa phrase car Maîtresse Trinity lui flanque un coup de poing d’une violence inouïe sur le visage. Ronan recule de plusieurs mètres et s’effondre par terre ne trouvant rien à quoi se raccrocher. Maitresse Trinity s’approche de lui.

 

MAITRESSE TRINITY 

(Glaciale)

 

Commentaire?

 

Ronan recule sur le sol en faisant « non » de la tête. Il se tient le visage qui saigne au niveau du nez tout en étant sidéré par la violence de Maitresse Trinity. Celle-ci  se retourne vers Alexandra.

 

Tu pensais sans doute pouvoir m’échapper et que j’avais perdu ta trace ?

 

ALEXANDRA

(Paniquée)

 

Mais c’est que je n'en pouvais plus. J’ai voulu refaire ma vie.

 

MAITRESSE TRINITY

 

C’est à moi de décider. Allonge-toi sur la table !

 

ALEXANDRA

(Timidement)

 

Mais Maitresse...

 

 

 

MAITRESSE TRINITY

(Hurlant)

 

Alors ! Tu n’as pas même eu la politesse de m’inviter.

 

ALEXANDRA

(Qui s’effondre en larmes)

 

Mais Maitresse…

 

MAITRESSE TRINITY

 

He bien dépêche toi !

 

Sur ces paroles, Maîtresse Trinity saisit Alexandra par le chignon et la jette brusquement sur la table à même le ventre. Alexandra est sur ses jambes le ventre allongé sur la table. Elle s’agrippe aux bords de celle-ci et n’ose pas bouger.

 

ALEXANDRA

 

Pardon Maîtresse…

 

Maîtresse Trinity, essaie alors de soulever la robe de sa soumise. Mais l’étoffe est lourde et surtout elle recouvre une grande quantité de tulle et de jupons. De plus en plus exaspérée,  Maitresse Trinity déchire sans ménagement le tissu, qui part en lambeaux. Puis, Maitresse Trinity arrache suffisamment de jupon pour enfin découvrir les fesses d’Alexandra. Elle lui arrache également sa culotte en soie brodée. La jeune soumise est bientôt en guenilles fesses nues, sous le regard terrifié de son mari et celui goguenard de Sarah. Alexandra est en pleur. Maitresse Trinity pose une main sur chaque fesse d’Alexandra et les écarte. Sarah applaudit tout en ricanant.

 

MAITRESSE TRINITY

(Glaciale à Ronan)

 

Approche.

 

Ronan se redresse et extrêmement craintif s’approche de Maîtresse Trinity.

 

MAITRESSE TRINITY

(Désignant les fesses d’Alexandra)

 

Que vois-tu ?

 

RONAN

 

R…rien.

 

SARAH

 

Sais-tu qu’elle a pourtant l’obligation de sa raser l’anus ?

 

RONAN

 

Mais…je…

 

Ronan, une fois de plus ne peut pas terminer sa phrase, car se retournant, Maîtresse Trinity lui colle trois gifles magistrales, qui font chanceler le jeune homme sur place, avant de lui flanquer un deuxième coup de poing plus agressif que le premier en pleine figure. Ronan s’effondre à nouveau sur le sol. Il est KO.

 

MAITRESSE TRINITY

(Méprisante)

 

Crétin !

 

Puis Maîtresse Trinity se retourne vers Alexandra.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Alors Alexandra. Comment as-tu osé disparaître !

 

ALEXANDRA

(Sanglotant)

 

Pardon, Maîtresse…je n’aurai pas du.

 

Maitresse Trinity gifle très fortement les fesses d’Alexandra lui arrachant des petits cris.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Ce n’est pas une excuse mais un début d’explication. Grimpe sur la table! (Alexandra grimpe sur la table et se met spontanément à quatre pattes. Maitresse Trinity des deux mains appuie violemment sur le bas du dos de la jeune femme la forçant à se cambrer). Cambre-toi et écarte des cuisses! Montre à ton mari cette position de salope que j'affectionne! (Alexandra exécute l'ordre) Ecarte des fesses avec tes mains (Alexandra s'exécute à nouveau) Bien, sache que tu mérite une correction exemplaire. (S’adressant à Sarah) Attache-la. Qu'elle soit maintenue dans cette position. Je veux quelque chose d’efficace et d’esthétique.

 

SARAH

 

Bien Maîtresse.

 

ALEXANDRA 

(Timide)

 

Maîtresse, j’ai besoin d’aller aux toilettes. C’est très pressé.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Nous verrons cela demain matin.

 

Tandis que Sarah récupère d’une commode les liens nécessaires, Maîtresse Trinity se sert un verre de bordeaux blanc et sec qui était gardé au frais et s’assoie sur son fauteuil tout en regardant Sarah. Ronan se redresse sur le sol dans état second. Au bout de quelques instants Sarah a fini d’achever son travail.

 

SARAH

(Fière d’elle même)

 

Voilà Maîtresse.

 

Maîtresse Trinity se redresse tenant son verre à la main. Tout en siroptant, elle inspecte le travail de son assistante, lui désignant les quelques rectifications nécessaires.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Pas mal. (Puis Maitresse Trinity appelle sur l’interphone Jessica) Jessica merci de monter dans mon boudoir.

 

Au même instant, Alexandra, attachée, ne pouvant plus se retenir s’oublie dans un geyser d’urine qui jaillit entre ses jambes. Maîtresse Trinity regarde la scène amusée et s’accroupie au niveau de son visage. Elle lui redresse le menton et lui parle doucement à quelques centimètres de ses lèvres.

 

MAITRESSE TRINITY

 

La peur ? (Alexandra ne répond pas). Tu es vierge n’est-ce pas ? Cette belle virginité que j’avais pourtant respectée.

 

Alexandra opine de la tête ne sachant quoi répondre.

 

ALEXANDRA

 

Pard…

 

MAITRESSE TRINITY

 

Tut, tut. Il est inutile de demander pardon. Tu me sais sadique, n’est-ce pas ?

 

ALEXANDRA

 

Oui…

 

MAITRESSE TRINITY

(A ses deux assistantes)

 

Rossez-moi Alexandra à tour de rôle pendant le reste de la nuit. A mains nues. Elle est punie. Tapez très fort mais rien d’autre. Pas de pénétration, pas d’initiatives malheureuses.

 

SARAH

 

Pas de soucis Maîtresse.

 

 

JESSICA

(Désignant Ronan)

 

Et lui ?

 

MAITRESSE TRINITY

 

Lui? (Réfléchissant) He bien, je veux qu'il mate. Je veux qu'il mate et qu'il se branle sous le nez de sa belle. (S'adressant à Ronan) Mesure un peu ta chance mon ami. Tu as le droit de te branler. (Ronan est pétrifié n'osant à peine répondre) Les filles, mettez tout cela en musique et assurez-vous que ce monsieur se comporte bien comme un cochon. S'il ne fait pas l'affaire foutez-le à la décharge publique. Je me fiche de ce mec. Je veux juste récupérer ma soumise.

 

SARAH

 

Bien Maîtresse.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Jessica, nos cinq lascars sont-ils fins prêts ?

 

JESSICA

 

Oui Maitresse ils vous « attendent » (Jessica fait le signe guillemets de ses doigts) dans la salle de torture.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Bien les filles, le temps de remplir une formalité et je vous laisse.

 

Ayant prononcé ces mots, Maitresse Trinity revêt un gant en latex et trempe sa main dans un pot rempli de vaseline puis l’étale sur le sexe d’Alexandra. Sans la moindre douceur Maitresse Trinity enfonce son majeur dans le sexe d’Alexandra suivi d'un autre doigt et débute une fouille en règle puis retire ses deux doigts constatant avec satisfaction qu'ils sont couverts de sang.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Voila pour le dépucelage. (Se tournant vers Ronan) Tu vois je tiens mes promesses. Ta femme est bien restée vierge jusqu’au mariage.

 

RONAN

 

Mais qui êtes-vous ?

 

MAITRESSE TRINITY

 

Ta femme aurait du te le dire. (Se tournant vers ses assistantes) Les filles, lorsque vos bras seront engourdis à force de frapper vous conduirez Alexandra dans les bois, vous l’attacherez à l’arbre que vous connaissez bien ; Je la veux cuisses écartées. Vous passez une annonce dans Sex-Acquitaine. Qu’elle se fasse défoncer toute la nuit. Vous pouvez prendre la méhari pour y aller, mais Alexandra devra courir nue devant la voiture.

 

SARAH

 

Et après que faisons-nous ?

 

MAITRESSE TRINITY

 

Après vous la ramènerez pleine de foutre toujours en courant devant la méhari jusqu’ici. Vous l’enfermerez dans une geôle où je veux que ce qu’il y a de plus laid et de plus stupide comme hommes lui passent dessus. Cela durera le temps qu’elle tombe enceinte. Nous la libèrerons lorsqu’elle aura accouché à moins qu’elle préfère rester à notre service. A demain les filles.

 

Maîtresse Trinity quitte la pièce laissant Jessica et Sarah maitresses de lieux. Alexandra est en pleurs.

 

 

JESSICA

(A Alexandra)

 

Ben quoi? Tu ne pensais tout de même pas qu'après avoir désobéi Maitresse allait te faire l'amour?

 

SARAH

(A Jessica)

 

Beau programme…Tu commences ou je commence ?

 

JESSICA

 

Commence à donner les vingt premiers coups. Si tu es fatiguée je prendrai la relève.

 

SARAH

 

D’accord.

 

Jessica s’assoie dans le fauteuil en cuir, se sert elle aussi un verre de bordeaux tandis que Sarah commence à fesser Alexandra.

 

JESSICA

 

Sarah.

 

SARAH

(S’interrompant)

 

Quoi?

 

JESSICA

 

Maîtresse a dit de taper très fort.

 

SARAH

(Etouffant un fou rire)

 

Tu as raison, j’ai failli oublier. On la baffe jusqu’à 2heure du mat et après on la conduit dans les bois ? Tu te charges de l’annonce ?

 

JESSICA

 

Oky Docky, ça roule pour moi. (Constatant que Ronan est pétrifié et n'a pas bougé). Alors Ronan, tu la sors cette bite? Tu vois bien que Maitresse n'est pas du genre à plaisanter.

 

Sarah reprend sa fessée, cette fois-ci en y jetant toute ses forces. Alexandra, bien évidemment, hurle sous les coups. Ronan rouge de honte sort son sexe de son pantalon se positionne devant Alexandra et commence à se masturber.

 

La scène dure quelques minutes puis la lumière s’éteint progressivement.

 

 

Le rideau tombe

 

(Fin de l’Acte III)

 

 

 

Par edouardnj - Publié dans : Pièce
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Jeudi 24 juin 4 24 /06 /Juin 22:48

 

Le Commentaire

 

viols-rock-tm-L-1Je reprends la publication de cette scène un peu longue où le moins que l’on puisse dire, c’est que Maitresse Trinity en bave vraiment.

 

Je ne suis pas surpris que Maitresse Trinity m’ait demandé de rédiger une telle scène. En exigeant qu’un jeune quadra intervienne (joué par Serf Joachim) elle a cherché à me tester sous mon angle dominateur afin « de mieux renverser la statut » comme elle me l’a dit un jour. Maitresse Trinity cherchait certainement à vérifier si j’allais être capable de la faire souffrir et si je ne serai pas arrêté par quelque crainte révérencielle. Tel ne fut absolument pas le cas, une fiction restant une fiction. Pour être tout a fait honnête, je n’avais pas prévu de la faire pleurer, Maitresse Trinity devait serrer les dents sous les coups mais ne pas céder.

 

Maitresse Trinity me demanda de revoir ma copie afin qu’elle craque et qu’elle pleure. Je me suis exécuté en trouvant toutefois plus intéressant de l’humilier moralement. Cette scène est assez trash mais est loin d’être ma préférée.

 

Bonne lecture;

 

Edouardnj

 

 

La scène (suite)...

 

 

 

FRANÇOIS

 

Laisse béton, Mec. Tu ne sais pas t’y prendre avec les meufs. J’vais te montrer ce qu’on leur fait pour les faire obéir. Tu vas voir. La dernière fois, ça ma valu 18 mois de taule. (S’adressant à ses camarades) Retournez-la sur le dos.

 

Les deux comparses de François retournent sans ménagement Maitresse Trinity sur le dos. François s’accroupit au dessus du visage de Maîtresse Trinity.

 

FRANÇOIS

 

Où est le fric, grosse pute ?  T’es qu’une pute à tournantes pas vrai ?

 

MAITRESSE TRINITY

 

On le dit.

 

FRANÇOIS

 

He bien les putes de ton espèce, elles nous servent de chiotte dans les caves de HLM.

 

Ayant achevé ses mots, François commence à déféquer sur le visage de Maîtresse Trinity qui non contente de ne pas esquisser de moue de dégout ouvre grande sa bouche afin de rien perdre de la matière fécale.

 

LÉONARD 

(Sidérée et répugné)

 

Mais j’y crois pas ! C’est une bouffeuse merde en plus.

 

La quantité est telle que Maîtresse Trinity est obligée de s’asseoir et de porter ses deux mains à sa bouche pour retenir le trop plein qui déborde.

JOACHIM 

(Amusé)

Je disais que notre amie Isabelle adore la merde.

 

FRANÇOIS

(Porte la main à son front)

 

Putain, chez nous c’est comme ça qu’on les punit les filles. (S’adressant à Maitresse Trinity) Et toi t’aimes ?

 

 

THOMAS

 

Tu es répugnante ma pauvre Isabelle. T’es vraiment qu’une salope. Tu me dégoutes. Approche tes fesses que je m’essuie.

 

Maitresse Trinity se retourne, s’incline et offre sa croupe rebondie sur laquelle Thomas essuie ses mains en étalant la merde qui lui colle aux doigts.

 

JOACHIM

 

Agenouille-toi maintenant. Je veux que tu me tailles une pipe, mais avant je vais te nettoyer le visage au karcher. Pour ce la j’ai besoin d’aide.

 

Joachim fait un signe à ses apôtres qui s’approchent ayant très bien compris la manœuvre. Les douze hommes se mettent à uriner sur le visage de Maitresse Trinity presqu’à bout portant ce qui a pour effet de « nettoyer » quoique très sommairement le visage de la belle.

 

JOACHIM

 

Voilà c’est à peu près cela. Maintenant ouvre ta bouche et branle-toi en même temps.

 

Maitresse Trinity s’approche et avale le sexe mou de Joachim. Elle commence ses longs vas et viens si bien que celui-ci bande très vite. Dans sa tache, Maitresse Trinity a cessé de se masturber provoquant l’ire de Joachim. Joachim se retire de sa bouche et  la gifle.

 

Mets-toi en levrette !

 

Maitresse Trinity se positionne en levrette. Joachim pointe son sexe raidi sur l’anus de la belle. D’un coup sec, il la sodomise et commence une rude chevauchée. François et Léonard qui sont excités par la scène se masturbent avec frénésie.

 

Dis-le que tu n’es qu’une truie à foutre et que t’aime la bite.

 

 

MAITRESSE TRINITY

 

J’aime la bite et suis une truie à foutre.

 

FRANÇOIS 

(Autoritaire et giflant à toute volée Maitresse Trinity)

 

Alors ouvre ta bouche de salope qu’on te gicle sur la gueule !

 

Maitresse Trinity ouvre la bouche et tire spontanément la langue. Joachim s’est retiré des fesses de la belle et s’approche aussi de sa langue après avoir retiré sa capote. Les trois hommes avec quelques uns des amis de Joachim lui giclent sur le visage. Après avoir joui, Léonard pousse Maitresse Trinity du pied si bien qu’elle tombe par terre.

 

Maitresse Trinity se relève.

 

JOACHIM 

(Brusquement hystérique)

 

Mais qui t’as autorisé à te relever salope ! Qui !

 

Ayant dit cela, Joachim lui flanque une nouvelle gifle si forte que Maitresse Trinity chancelle sur place presqu’en larmes.

 

MAITRESSE TRINITY

(Retenant ses larmes)

 

Je croyais que vous en aviez terminé.

 

Joachim s’approche de Maitresse Trinity et lui empoigne les cheveux enroulant une pleine poignée de cheveux autour de son poigné, en sorte que Maitresse Trinity est tenue très fermement par les cheveux. Par un geste brusque Joachim force Maitresse Trinity à approcher  son visage du sien. Joachim et Maitresse Trinity se font face à quelques millimètres.

 

JOACHIM

 

Il ne faut pas croire, il faut savoir.

 

MAITRESSE TRINITY

(Le regard embué de larmes)

 

J’en conviens Monsieur.

 

JOACHIM

 

Il y a un « je ne sais quoi » chez toi que je trouve prodigieusement énervant. 

 

MAITRESSE TRINITY

 

Pardon ?

 

JOACHIM

(Intense)

 

On te gifle, on te défonce, tu te prends des raclées, on te chie dessus, on te pisse sur ta gueule de chienne, on t’injurie et tu en redemandes toujours plus. Tu nous manipules…

 

MAITRESSE TRINITY

 

Comment cela ?

 

JOACHIM

 

Tu aimes souffrir. Mais moi je veux de la vraie souffrance.

 

 Puis tirant Maitresse Trinity à nouveau par les cheveux il la force à s’agenouiller.

 

JOACHIM

 

A genoux !

 

Maitresse Trinity se met à genoux tandis que Joachim va chercher le ceinturon de son pantalon. Il s’approche calmement de Maitresse se donnant des airs de matamore.

 

JOACHIM

 

Je veux que tu te vautres dans cette flaque de pisse.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Vous souhaitez que…

 

Joachim n’attend pas la fin de la phrase de Maitresse Trinity et commence à lui cingler le dos de coups de ceinturons. Les autres lascars sont hilares tandis que Maitresse Trinity hurle de douleur.

 

JOACHIM

(Hurlant)

 

Magne-toi ! Rampe sur le sol, essuie-moi ce putain de sol avec tes cheveux !

 

FRANÇOIS

 

T’as raison mec, faut vraiment lui en faire baver. On a carte blanche et puis elle s’est foutue de nous tout à l’heure.

 

JOACHIM 

(Tout en frappant Maitresse Trinity)

 

Allez, Conchita, lave-nous le sol et mieux que cela !

 

Maitresse Trinity commence à essuyer le sol avec ses cheveux, tout en hurlant sous les coups de ceinturons.

 

JOACHIM

(Plus calmement)

 

C’est bien, mon joli sac à foutre…Tu souffres vraiment maintenant c’est parfait. Je veux te voir souffrir.

 

Ayant prononcé ces mots Maitresse Trinity redresse la tête, ce qui lui vaut automatiquement une raclée de la part de Thomas suivie d’une série de coups de ceinture.

 

CEDRIC 

(Hurlant dans les oreilles de Maitresse Trinity)

 

Mais qui t’a dit que c’était terminé ?

 

JOACHIM 

(Hurlant dans l’autre oreille de Maitresse Trinity)

 

Excuses-toi !

 

LÉONARD 

(Hurlant)

 

Baisse tes bras !

 

Maitresse Trinity baisse ses bras et Léonard lui flanque une gifle.

 

MAITRESSE TRINITY

(Après avoir essuyé tout le sol et commençant à pleurer)

 

Cela vous convient ?

 

JOACHIM

 

Pas mal. (Autoritaire) Relève-toi ! Debout !

 

Joachim ne laisse pas à Maitresse Trinity le temps de réagir. Il lui empoigne fermement une oreille et la force à se redresser. Maitresse Trinity tordue de douleur se redresse tout en couinant. Une fois debout, Joachim contemple Maitresse Trinity dans les yeux.

 

JOACHIM

(Doucement)

 

Je veux te voir pleurer. (Changeant de ton et vociférant) Fous-toi à genoux ! Tu ne vois pas que ces messieurs veulent de défoncer le cul ? (La brusquant et la projetant sur le sol) Mais il faut tout lui expliquer à cette salope !

 

MAITRESSE TRINITY

 

Comment dois-je…

 

JOACHIM

(La giflant)

 

Mais en levrette pauvre cruche ! (S’adressant à ses amis qui bandent à force de masturbation) A vous de jouer les gars. Terminez-la! Enculez-la d’un coup! Faites-lui mal!

 

Les douze hommes s’approchent et se placent derrière la belle jeune femme.

 

JOACHIM

 

Je veux que vous la sodomisiez  à tour de rôles. (S’adressant à Maitresse Trinity)  He bien mes amis, s’il se trouve parmi vous des amateurs de double anale c’est à vous de jouer ! Faites-lui mal. Je veux des larmes.

 

Les apôtres commencent à se succéder à tour de rôle dans l’anus de Maitresse Trinity qui souffre beaucoup, et lorsqu’ils sont au bord de la jouissance, en bons amateurs de pornographie de base, ils viennent se soulager au fonds de la gorge de Maitresse Trinity non sans pénétrer violemment sa bouche. Les hommes se succèdent ainsi jusqu’au 6ème environ. Maitresse Trinity est très éprouvée.

 

FRANÇOIS

(Hilare)

 

Elle est à point, on va la faire chialer cette poufiasse rousse.

 

JOACHIM 

(Amusé à Maitresse Trinity

 

Tu souffres mais tu en redemandes ma salope. N’est-ce pas vrai ?

 

Joachim s’approche calmement du visage de Maitresse Trinity avec un sourire énigmatique Après que le mâle en rut a explosé dans la gorge de Maitresse Trinity, Joachim récupère délicatement avec son doigt le sperme qui coule à la commissure des lèvres de Maitresse Trinity et lui fait lécher son doigt.

 

JOACHIM

 

Je suis un petit naïf. Vouloir te faire pleurer à force d’être brutalisé ! Mais où avais-je la tête. En revanche, derrière ces jolis petits nichons qui pendouillent, il y a bien un petit cœur qui bat pas vrai ? Que dirait ta jolie maman si elle te voyait comme cela ? Dis-moi que dirait-elle ta jolie maman si elle te voyait?

 

MAITRESSE TRINITY

 

Je ne l’ai pas connue.

 

JOACHIM 

(Triomphale)

 

Vous entendez Messieurs, n’ayez pas de scrupules, défoncez-la. De toute façon sa mère a crevé depuis longtemps.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Je n’ai pas dit cela !

 

JOACHIM

 

He bien tu vas nous faire une jolie prière ! (Reprenant sa ceinture) Je veux que tu hurles « Ma douce maman j’aime me faire enculer » tout en te faisant défoncer.

 

Ayant dit cela Joachim abat à nouveau sa ceinture sur le dos de Maitresse Trinity qui hurle de douleur, tandis qu’elle se fait défoncer l’anus par le dernier apôtre.

 

JOACHIM

 

Dis-le salope. « Maman regarde ta fille d’où tu es. Regarde-la se faire tringler ! » (Abattant sa ceinture) Hurle-le !

 

Maitresse Trinity hurle sous les coups. Joachim se saisit d’une cravache et l’abat à toute volée sur les fesses de la belle, Maitresse Trinity se recroqueville sur elle.

 

JOACHIM

 

Dis-le espèce de pute. Dis-le que tu n’es qu’une fille de pute.

 

MAITRESSE TRINITY 

(Cherchant à se protéger et d’une voix faible et s'effondrant en larmes)

 

Je suis une fille de pute !

 

JOACHIM

(De rage)

 

Tu n’es qu’une salope ! Je comprends mieux en regardant ton visage ce que veux vraiment dire « fille de pute ». C’est ton cas pas vrai ! Je suis certain que ta mère n’était qu’une poufiasse, une vulgaire fille de joie. Pas vrai ?

 

Maitresse Trinity est trop épuisée pour répondre. Joachim redouble de coup.

 

MAITRESSE TRINITY

(Se protégeant des coups tout en criant)

 

Si, si, arrêtez maintenant cela suffit !

 

JESSICA

(Autoritaire)

 

Tu arrêtes Joachim maintenant ! Cela suffit !

 

JOACHIM

(Le visage crispé par la haine)

 

Non cela ne suffit pas ! (Donnant le coup de trop) Crie-le que ta mère est une pute !

 

Maitresse Trinity est en larmes. Jessica se précipite sur elle pour la prendre dans ses bras.

 

MAITRESSE TRINITY

(En pleurant)

 

Ma mère est la plus grande putain que l’Italie n’a jamais connue.

 

JOACHIM

(Calmé et satisfait)

 

He bien j’en apprends de belles ! Allez file chercher ton offrande maintenant !

 

FRANÇOIS

 

Et n’oublie pas la notre non plus.

 

MAITRESSE TRINITY 

(Ne parvenant pas à arrêter le torrent de larmes qu’elle déverse)

 

Jessica, ouvre le livre postiche qui est dans la bibliothèque et sors l’argent.

 

Tandis que Jessica se dirige vers la bibliothèque, les hommes sont quelque peu interloqués par la soudaine autorité de Maitresse Trinity en dépit de ses larmes.

 

MAITRESSE TRINITY 

(La voix éteinte et secouée de  larmes)

 

Je vais vous le donner votre bon argent, (désignant Julien) mais pourquoi lui n’a pas eu le droit d’être de la fête ?

 

FRANÇOIS

 

Lui c’est mon petit frère, il est puceau, il ne sait même pas faire jouir une meuf.

 

JULIEN

 

Ce n’est pas vrai, avec Aziza…

 

FRANÇOIS

(Interrompant)

 

Ta gueule !

 

MAITRESSE TRINITY

(À Julien  avec douceur mais tout en continuant à pleurer)

 

Non, viens me prendre, allez, viens.

 

JULIEN

(Embarrassé)

 

Mais c’est que…

 

MAITRESSE TRINITY

(Esquissant un faible sourire)

 

…que je suis sale ?

 

JULIEN

(Timide)

 

Un peu…

 

FRANÇOIS

(Goguenard)

 

Dis surtout que t’as peur des meufs.

 

MAITRESSE TRINITY

(Commençant enfin à sécher ses larmes)

 

Tu as raison Julien. Ne t’inquiète pas. Jessica va me nettoyer.

 

Maitresse Trinity se relève difficilement. Avec beaucoup de soin et de délicatesse, Jessica entreprend de nettoyer le corps meurtri de sa Maitresse.

 

FRANÇOIS

 

J’y comprends de moins en moins, c’est qui la soumise ?

 

JOACHIM 

(Stoïque)

 

Je crois que nous avons affaire à une femme peu ordinaire…et qui nous mène par le bout du nez.

 

Jessica achève de nettoyer sa Maitresse. Celle-ci est désormais « relativement » propre.

 

MAITRESSE TRINITY 

(A Julien d’une voix faible)

 

Je te plais maintenant ?

 

JULIEN

(Souriant)

 

Oui beaucoup plus.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Approche-toi.

 

Ayant dit cela, Maitresse Trinity sort le sexe de Julien de son pantalon et s’accroupissant commence à la sucer. Constatant qu’il est en érection, Maitresse Trinity arrête la fellation puis s’allonge ensuite dos sur la table.

 

MAITRESSE TRINITY 

(D’une voix éteinte)

 

Allez prend moi comme tu veux. Caresse-moi les seins, mordille-les, n’oublies pas de faire glisser tes mains sur mes hanches. Embrasse-moi dans le cou…

 

Julien est visiblement puceau, mais se plie aux demandes de Maîtresse Trinity qui sans doute se force un peu à soupirer devant les yeux médusés des autres garçons.

 

MAITRESSE TRINITY 

(Avec un faible sourire)

 

Tu fais cela très bien Julien, si tu continue tu vas me faire jouir.

 

JULIEN

 

Merci…

 

Maitresse Trinity commence à onduler du bassin et soupire de plus en plus fort.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Oui bravo, Julien, continue, je vais jouir, ça vient, ça vient fort…

 

Sans que l’assistance sache vraiment s’il s’agit d’une comédie ou pas, Maitresse Trinity s’abandonne en jouissant très bruyamment. Julien jouit dans la foulée.

 

JULIEN

(Fier comme Artaban)

 

Merci beaucoup.

 

Maitresse Trinity, se relève et enfile un peignoir puis s’adresse aux lascars en leur donnant leur argent.

 

MAITRESSE TRINITY

(D’une voix lasse)

 

Ceci est pour vous. Partez, je vous en prie. J’ai trop souffert.

 

Les cinq invités suivis des apôtres de Joachim prennent leur argent et quittent la pièce, interloqués par la personnalité de Maitresse Trinity. La lumière s’éteint.

 

 

 

 

Par edouardnj - Publié dans : Pièce
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Vendredi 18 juin 5 18 /06 /Juin 22:30

Le Commentaire

 

images-copie-1

 

Retour à la littérature après le pamphlet qui m’a valu de sévères critiques dont les commentaires de Sabinchen une dominatrice me semble-t-il qui ne m’apprécie pas vraiment. Il faut savoir raison garder. Je mets un peu en boite mais ne suis pas injurieux. Tout cela n’et pas très grave et surtout ne va pas durer car ce blog touche à sa fin et se terminera par un épilogue que je promets d’être des plus honnêtes.

 

Le texte qui suit met à l’honneur Serf Joachim qui tient un rôle à la hauteur de sa notoriété. Ce n’est que justice. Maitresse Trinity, voulait en baver, je lui en ai fait baver dans une scène dont la rédaction fut fastidieuse car je n’étais pas inspiré.

 

Bonne lecture.

 

Edouardnj

 

La scène

 

Scène (3) - Les Lascars, Joachim et ses apôtres

 

JESSICA

 

Bonjour Joachim, vous arrivez en pleins ébats. Je vois que vous êtes venu avec du renfort…

 

JOACHIM

 (Etonné mais gardant un certain flegme)

 

Bonjour Mademoiselle. (Après une pause) Vous ne m’aviez pas dit que nous ne serions pas seuls. (Regardant Maitresse Trinity se faire prendre) Je pensais qu’Isabelle m’était réservée pour mon seul usage et que j’aurai pu ensuite la livrer à mes douze apôtres.

 

Constatant l’arrivée de Joachim et de son groupe d’amis, François se dégage de la bouche de Maitresse Trinity.

 

FRANÇOIS

(Méfiant)

 

C’est qui ces mecs ? Tu ne m’avais pas dit…

 

JESSICA

(Très calme)

 

Pour cette chienne, quatre queues ne sont pas suffisantes (se tournant vers François) et j’ai pensé que vous auriez besoin de renfort…Cela ne vous pose pas de problèmes tout de même ?

 

FRANÇOIS

 

Ben non, nous ce qu’on veut, c’est la tringler.

 

JOACHIM

 

Cela ne me pose pas de problème non plus mais j’exige qu’elle me donne mon offrande tout de suite…(S’adressant à Maitresse Trinity) Tu as compris salope, je veux bien enculer ton cul de chienne mais tu me donnes ton offrande…

 

MAITRESSE TRINITY

 

Oui Monsieur, mais il faut pour cela que l'on me laisse quelques minutes de répit pour aller chercher l’argent dans la commode…

 

FRANÇOIS 

(A Jessica)

 

C’est quoi cette embrouille ! C’est quoi cette histoire d’offrande ? Pourquoi ce mec il a le droit à quelque chose et pas nous ?

 

JESSICA

(Désignant Maitresse Trinity)

 

Voyez cela directement avec elle messieurs.

 

LÉONARD

 

Putain, j’y crois pas elle paie pour se faire déchirer et nous on est là comme des cons à rien recevoir.

 

Thomas, s’est arrêté un instant, puis tire les cheveux de Maîtresse Trinity et la baise brutalement en la maintenant par les cheveux.

 

THOMAS 

(Hystérique)

 

Quoi chiennasse, tu files du fric pour te faire mettre et tu nous donnes rien à nous ? On veut ton fric !…On veut ton fric !

 

N.B Chaque syllabe de « on veut ton fric » est rythmée d’un grand coup de reins.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Oui je vais vous payer…

 

THOMAS

 

Dis-le que tu veux payer.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Je veux payer.

 

THOMAS

 

Dis-le que tu vas nous filer du fric…

 

MAITRESSE TRINITY

 

Oui je vais vous filer du fric…

 

THOMAS

 

T’as intérêt, je veux 300 euros pour te faire l’honneur de jouir dans ton cul !

 

Thomas, jouit, reste quelques secondes dans les fesses de Maîtresse Trinity, puis se retire d’un coup. Il retombe à terre épuisé par sa chevauchée. Maîtresse Trinity reste à quatre pates et attend. François s’approche de Maitresse Trinity.

 

FRANÇOIS

 

Lève-toi connasse ! Explique-nous pourquoi tu le payes lui et pas nous ! C’est parce qu’il à les Church, la montre classe, la Lacoste et tout et nous qu’on est mal fringué? Hein ? C’est pour ça ? Tu payes les riches ?

 

Maitresse Trinity se redresse sur ses jambes et regarde François.

 

MAITRESSE TRINITY 

(Calmement)

 

Je paie toujours pour me faire prendre.

 

FRANÇOIS

(Hystérique)

 

Tu t’es bien foutue de notre gueule toi, c’est parce qu’on est des gars de la banlieue c’est ça ?

 

François ivre de rage envoie une gifle à Maitresse Trinity qui recule d’au mois trois pas sous l’impacte de celle-ci.

 

MAITRESSE TRINITY

(Se tenant la joue mais relativement stoïque)

 

Non, j’ai juste oublié.

 

THOMAS

(Agressif et repoussant violement Maitresse Trinity par derrière qui est projetée vers François)

 

Ah t’as oublié, Ah t’as oublié…

 

François prend violement Maitresse Trinity à la gorge et l’étrangle en la secouant dans tous les sens.

 

FRANÇOIS

(Ivre d’agressivité tout en étranglant)

 

T’es qu’une salope ! Une salope !

 

Tout en tenant Maitresse Trinity par le coup, François la flanque par terre à genoux et la force à le prendre en bouche.

 

FRANÇOIS

 

T’as voulu nous voler connasse !(Hurlant) Allez suce-moi la bite ! Suce-moi la bite !

 

Maîtresse Trinity est désormais en danger car François ne se maitrise plus.

 

FRANÇOIS

 

Je te gicle à la gueule et ensuite tu nous files ton fric.

 

Léonard et Thomas sentent que la situation peut dégénérer, Jessica est nerveuse et a déjà saisit la matraque en plomb pour frapper François. Joachim regarde la scène presqu’amusé. Julien, terrifié, est tapis dans coin de la pièce.

 

LÉONARD

 

Calme-toi François, ne la tue pas…On est la pour la tringler, pas pour retourner en taule !

 

THOMAS

 

Ouai, fais gaffe avec les keufs. On est en conditionnelle, faut se tenir à carreau. Si tu l’abimes on pourra pas lui faire cracher son fric et le JAP va nous faire notre fête.

 

François relâche Maitresse Trinity pour lui tirer immédiatement les cheveux.

 

FRANÇOIS

 

Ok, ok les gars. (Hurlant dans les oreilles de Maitresse Trinity) C’est combien l’offrande.

 

JESSICA 

(Calmement)

 

C’est 500 euros. Ne vous inquiétez pas elle va vous les donner alors ne l’esquintez pas.

 

FRANÇOIS 

(A Maitresse Trinity)

 

Tu mérites qu’on te crache à la gueule toi.

 

François s’approche de Maitresse Trinity et lui passe une langue adipeuse et gluante sur le visage bientôt imité par Léonard. Puis les deux hommes complices concentrent toute leur salive dans leur bouche et crachent à la figure de Maitresse Trinity. D’un geste violent François rabaisse ensuite Maîtresse Trinity au sol. Celle-ci se laisse faire et tombe par terre. Joachim s’approche calmement et s’accroupit au niveau de son visage la regardant avec gourmandise.

 

JOACHIM

 

Dis donc Isabelle, tu as un très joli minois tu sais ? Tire un peu ta langue. Nettoie ton visage avec ta langue, fais-moi disparaître ses crachats au fonds de ta gorge.

 

Maîtresse Trinity tire sa langue bien en dehors, fait le pourtour de ses lèvres afin de nettoyer les crachats et termine de se laver le visage avec les doigts qu’elle porte avec sensualité dans sa bouche afin de les lécher.

 

JOACHIM

 

Regardez-moi la cochonne de service. Mmme, belle langue…Et je parie que cette langue aime lécher de tout n’est-ce pas ? C’est une langue à foutre…

 

MAITRESSE TRINITY

 

Oui.

 

JESSICA

 

C’est une merveilleuse pompeuse.

 

JOACHIM

 

Et cette langue adore lécher les culs je parie.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Oui j’adore.

 

JOACHIM

(Autoritaire)

 

Alors qu’attends-tu pour me baisser le froc et me lécher le cul, salope.

 

Joachim envoie une gifle magistrale à Maitresse Trinity, Thomas s’approche de Maitresse Trinity et lui colle une deuxième rossée.

 

THOMAS

 

Tu ne comprends que cela connasse ! (Hurlant) Bouffe-lui le cul !

 

Maitresse Trinity se précipite sur le pantalon de Joachim, le descend, lui baisse son slip et plonge son nez dans sa raie des fesses tout en s’agrippant à ses hanches afin de lui lécher l’anus plus facilement telle une morte la faim. Joachim se met à quatre pattes afin de faciliter le travail de Maitresse Trinity. Maîtresse Trinity redouble ses coups de langue de façon si bruyante qu’elle est, en fait, entrain de laper l’anus de Joachim. Pendant ce temps, les douze apôtres de Joachim commencent à se déshabiller.

 

JOACHIM

 

Oh c’est trop bon…c’est une chienne…c’est du lourd…du très lourd. (Apercevant ses amis) Messieurs, votre tour n’est pas encore arrivé, vous pouvez vous branler mais éviter de jouir. Je vous donnerai le signal en temps voulu.

 

Les douze hommes dans un concert de « ok » ; « c’est bon », « pas de problèmes » obtempèrent tandis que Léonard se penche et passe sa main sur le sexe de Maitresse Trinity.

 

LÉONARD

 

Et en plus elle mouille comme une pute en chaleur. Jamais vu ça. (Dans un rire grossier) On va t’éteindre le feu.

 

Léonard sort son sexe et commence à uriner sur les fesses de Maitresse Trinity, tandis que cette dernière continue à lécher le cul de Joachim.

 

LÉONARD

 

Je veux 500 euros pour que tu me lèches le cul moi aussi. Compris ?

 

MAITRESSE TRINITY

 

Oui, mais laissez moi terminer de lécher.

 

Maitresse Trinity replonge entre les fesses de Joachim.

 

JOACHIM

 

Avoue que tu trouves cela savoureux ma chienne.

 

MAITRESSE TRINITY

 

Oui Monsieur, c’est absolument savoureux.

 

THOMAS

 

He bien pour la peine, tu vas me lécher le cul à moi aussi et pour 500 euros.

 

Léonard se met à quatre pattes à coté de Joachim qui dodeline du postérieur tout en soupirant de plaisir.

 

THOMAS

 

Lèche !

 

Maîtresse Trinity délaisse l’anus de Joachim et plonge sa la langue vers celui de Léonard avec autant d’appétit. Joachim se redresse, achève de se déshabiller et se place derrière Maitresse Trinity lui glissant quelques doigts dans son sexe détrempé.

 

JOACHIM

 (Goguenard)

 

Ca glisse tout seul ! Mais c’est qu’elle se prendrait une main la chienne !

 

 

MAITRESSE TRINITY 

(Tout en léchant alternativement les anus de Léonard et de Thomas)

 

Oui sans problèmes.

 

Tandis que Maitresse Trinity lape et se fait fister par Joachim, François nerveux commence à farfouiller dans les tiroirs à la recherche de l’argent.

 

JESSICA 

(Autoritaire)

 

Ne t’avise pas à fouiller dans mes affaires François, car tu risque de connaître l’humidité corrosive de mes geôles. Isabelle te donnera ton fric. Sois-en certain.

 

JOACHIM

(Triomphal)

 

Victoire ! J’ai mon poing dans sa chatte.

 

Joachim accélère le rythme des vas et viens. Il fouille le sexe de Maitresse Trinity sans ménagements.

 

JOACHIM

 

Où est le fric, Isabelle ! Dis-nous où tu caches ton fric si tu veux jouir. Maitresse Trinity ne répond pas. Isabelle, si j’étais toi je répondrai car je vais bientôt te faire mal, très mal. Maitresse Trinity ne répond toujours pas. Alors ça vient ou tu veux mon bras dans le cul !

 

François s’approche de Joachim

 

FRANÇOIS

 

Laisse béton, Mec. Tu ne sais pas t’y prendre avec les meufs. J’vais te montrer ce qu’on leur fait pour les faire obéir. Tu vas voir. La dernière fois, ça ma valu 18 mois de taule. (S’adressant à ses camarades) Retournez-la sur le dos.

 

Les deux comparses de François retournent sans ménagement Maitresse Trinity sur le dos. François s’accroupit au dessus du visage de Maîtresse Trinity.

 

(A suivre...)

 

Par edouardnj - Publié dans : Pièce
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Mercredi 16 juin 3 16 /06 /Juin 21:15

acidenitrix.jpg

Paltoquet, merdeux insignifiant, crétin, imbécile, cuistre, persifleur éconduit, faux derche sournois, connard et j’en passe…

 

Que ce soit par le biais de commentaires ou de messages privés je suis a-ca-blé d’injures et de reproches alors même que je crois avoir dit que ce blog est dédié à Maitresse Trinity. Si l’on devait transcrire ce portait moral en portrait physique, je crois bien que l’homme élancé et distingué que je suis, se racornirait soudain, son dos se courberait tandis que ses bras s’allongeraient jusqu’à toucher terre; ses mains longues et fines se prolongeraient par des ongles crochus et sales, sa peau se recouvrirait progressivement d’écailles, quelques cheveux gras se plaqueraient sur des oreilles démesurément décollées, et au milieu d'un visage jaune et cireux sa bouche s’ouvrirait sur des dents gâtées tout en lassant s ‘échapper une haleine putride…

 

Mon beau regard franc et droit ne laisserait-il donc plus place qu’à ce regard torve et inquiet façon Pierre Laval?   Il semblerait que j’appartienne donc à l’odieuse catégorie des traitres. Mais pire que cela, un rebus, un exclu du divin cercle, un de ces vaniteux dépourvu de profondeur incapable de comprendre la profondeur de Maitresse Trinity. Un misérable incapable de méditer sur ce qui fait sens, incapable d’apporter le moindre début de réponse à la question structurante : Maitresse Trinity a-t-elle oui ou non taillé une pipe à Matteo ?

 

Ah ! Comme j’aimerais pouvoir m’élever au dessus de mes pitoyables réflexions sur la liberté de l’instinct et la liberté de l’âme. Comme j’aimerais atteindre, comme Maitresse Trinity, la quintessence de l’humilité et me départir de cet orgueil qui me colle à la peau. Il faudrait pour cela que je me décide à prendre enfin exemple sur la divine Maitresse. Il faudrait ainsi que j’accepte de ne vivre que pour moi même. Il faudrait aussi que j’accepte de ne vivre que par moi même. Je cesserais de revendiquer toute forme d’autonomie pour lui préférer l’indépendance, détaché de ce qui m’entoure, je me sentirai libre. En un mot je me poserais en m’opposant et ne voudrais dépendre de personne.  Je dirais "noir" quand les autres diraient "blanc" et inversement. J’aurais, enfin, toujours raison, je n’accepterais avec affabilité que les seuls compliments. Si je parviens à réunir ces belles qualités, alors oui, peut-être, mon orgueil s’évaporera et aurai-je enfin compris la belle vertu d’humilité.

 

 Mais j’en suis bien loin, moi le péon, le laid, le plouc. Je parcours parfois le blog des admirateurs de Maitresse Trinity, me nourris de leur abondante réflexion et tout en constatant ma misère me dis que l’on voit poindre une nouvelle aristocratie. Ces soumis, ces intimes sont, en effet, autant de barons, de marquis et pour les plus méritants pourquoi pas de comtes. Mais, me direz-vous, quel titre faudrait-il donc donner à Maitresse Trinity elle-même ? Je me suis posé et j’ai bien réfléchi. Reine ? Non pas. Le titre de roi appartient à Sade lui même (tout marquis qu’il fut dans le civil) et Maitresse Trinity admettra que ce titre ne saurait être partagé. Princesse ? Non plus, le coté Walt Disney étant rédhibitoire. Duchesse ? Certainement pas, ce titre ne traduit pas toute la noblesse de Maitresse Trinity. Alors quel titre ? C’est alors que fouillant dans ma mémoire, je mes suis souvenu que, sous l’ancien régime, certaines femmes de très haute importance et évoluant dans le cercle quasi intime du Roi étaient tout simplement appelées "Madame".

 

J’ai croisé dans ma jeunesse l'une de ces "Madames" et ce qui distinguait le "Madame" attribué à cette femme du gotha du "madame" que l’on adresse à sa boulangère (quand on oublie pas de la saluer) c’était la façon de prononcer le mot. Le "Madame" que l'on adresse à un altesse sérénissime, se prononce toujours avec cette légère suavité et ce je ne sais quoi d’insistance sur l'accent tonique de la deuxième syllabe tout en laissant trainer légèrement le "a" après le "d" :"Madaame". 

 

Convenons que cette distinction, bien plus qu'un titre, sied parfaitement à ces femmes qui savent allier noblesse et humilité.

 

C’est pourquoi, chers amis, j’appelle tous les soumis et soumises de France et de Navarre à appeler désormais Maitresse Trinity par le seul titre de noblesse qui lui sied indiscutablement, savoir :

 

"Monsiieur"

 

A bientôt

 

Edouardnj

 


 

 

Par edouardnj - Publié dans : Réflexions
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